« Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible. »
Antoine de Saint-Exupéry
A Bruxelles, plus de 809 personnes dorment dans la rue. 723 personnes vivent en rue depuis plus de deux ans *
A Liège, plus de 500 personnes n’ont pas de chez soi. 117 personnes vivent en rue depuis plus de deux ans**
Les personnes sans-abri ne pourront retrouver leur place dans la société que lorsqu’elle auront à nouveau un logement. Cette perspective d’avenir est réaliste dans l’expérience quotidienne d’Infirmiers de rue.
C'est pourquoi, en cette fin d'année et début d'hiver, nous vous invitons à rejoindre un mouvement nécessaire pour transformer la vie des personnes sans-abri.
Votre soutien peut faire toute la différence : chaque don posé est une brique supplémentaire pour construire un avenir meilleur.
(*Dénombrement du 8 novembre 2022) (**Dénombrement du 29 octobre 2020)
Don après don, construisons ensemble cet avenir
Chaque année, nous sommes en mesure de reloger une quinzaine de personnes sans-abri parmi les plus vulnérables à Bruxelles et à Liège. Ce nombre peut sembler faible, mais cela reste un travail de longue haleine, surtout avec le public que nous accompagnons : des personnes sans-abri vivant dans la rue depuis plusieurs années et confrontées à des problèmes de santé physiques et mentale, ainsi qu'à des difficultés administratives.
Il faut beaucoup de temps pour qu'elles gagnent la confiance nécessaire afin de réintégrer un logement. Et encore, cela reste un défi majeur, car les logements disponibles sont devenus rares.
La solution au sans-abrisme, c’est le logement
Pour Infirmiers de rue, il n’y a qu’une seule solution au sans-abrisme : un logement décent. Ce n’est que dans un logement que les personnes peuvent se sentir en sécurité et travailler sur leur santé et sur leur intégration sociale. Pourtant, l’organisation constate qu’il reste difficile de mettre suffisamment de logements abordables et adaptés à la disposition de ses patient·es.
« Reloger les personnes sans-abri est nécessaire si l’on veut réellement améliorer leur santé et leur survie, et lutter efficacement contre la pauvreté et l’exclusion. L’accès à un logement décent est un levier crucial pour engendrer un changement durable » Pierre Ryckmans, coordinateur médical.
Placez notre affiche à votre fenêtre et montrez votre engagement à la fin du sans-abrisme
L’impact de votre don
+ 200 personnes sans-abri très vulnérables durablement relogées
50 personnes annuellement accompagnées vers leur sortie de la rue
80 personnes suivies en logement, après une vie en rue
Une mentalité qui change : oui, la fin du sans-abrisme est possible
Budget à boucler
Notre travail consiste en des accompagnements intensifs, qui demandent beaucoup de ressources, humaines et financières. Bien que l’association soit soutenue par les instances publiques, force est de constater que les subsides ne couvrent pas du tout le budget nécessaire à l’association. 40% de notre budget n'est pas subsidié.
Pour boucler celui-ci, le soutien de fondations privées, d’entreprises et de particuliers comme vous est plus que jamais nécessaire.
Nous remercions nos partenaires
« La seule voie qui offre quelque espoir d'un avenir meilleur pour toute l'humanité est celle de la coopération et du partenariat. »
- Kofi Anan
La Loterie Nationale, c'est bien plus que jouer - Grâce à son modèle unique, la Loterie Nationale investit en 2024, avec le soutien de tous ses joueurs, plus de 345 millions d'euros dans de nombreuses organisations et associations dont les projets sociétaux, sportifs, culturels ou scientifiques font la différence au quotidien. Tous ensemble, nous contribuons ainsi à créer une société belge plus chaleureuse et plus inclusive. #bienplusquejouer
Par petits pas, on avance aussi
Monsieur V., âgé d’une quarantaine d’années, était très connu dans son quartier de Bruxelles. Cela faisait des années qu’il vivait dans ces rues, mais beaucoup de riverains et commerçants le connaissaient avant cela, certains ont même partagé les bancs d’école avec lui. « Il ne veut pas de logement. Il veut rester en rue. », nous disait-on.
Nous ne voulions pas le croire.
Des petits pas, pas si petits !